Renée-Lise JONIN, auteure

 

Renée-Lise Jonin, Dans le ventre du rêve

Renée-Lise Jonin, Julienne de Norwich

Renée-Lise Jonin, auteure

Renée-Lise Jonin,  Paraboles celtiques

Renée-Lise Jonin,  Des Forêts d'oiseaux dans le crâne

 

 Dernier livre paru (2023)

 Dans le ventre du rêve, poèmes aux Editions l'Ire de l'Ours

 

 Récompenses 

Prix de poésie Jean Aubert 2011 pour Des forêts d’oiseaux dans le crâne, poèmes aux Editions Flammes vives

Divers prix pour diverses nouvelles, publiées en conséquence dans des ouvrages collectifs

 

Mon rapport à l’écriture exprimé dans mon poème  Crire

extrait du Recueil Des forêts d’oiseaux dans le crâne

Crire

 

Crire  Crier Croire Écroire.

Les  cris des oiseaux, des pendus qui s’échappent

L’écrit dernier cri : de Bora-Bora?

L’écrit premier cri : de Sumer ?

Lait cru de la vache Julie

Le cri-cri du foyer

Les gris-gris de ma tante Juliette

Crire c’est ce que je préfère

Ça crisse sur le papier

Ça suscite un gout âcre à la bouche

Quand on est acariâtre ça fait du bien de crire

Crire c’est plaisant comme des bouts de soleils

 

Crire c’est enivrant

C’est comme sauter en parachute

Accrocher un tableau au Louvre

Créer un incendie avec flamme

Mordre pour la première fois

Dans un dictionnaire

Enfourcher un oiseau quand on est mutilé

Lire quand on est dromadaire

 

Crire c’est mon truc c’est ça ma vie

Crire et crire et crire encore !

Ecrire… c’est un peu comme crire !

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  Critique (extraits) sur Des forêts d’oiseaux dans le crâne, poèmes,  Blog de Monique Mérabet (prix Max Jacob 2006) 

            

C’est grâce aux éditions  Flammes Vives que j’ai eu le plaisir de découvrir le monde poétique de Renée-Lise Jonin ; ce monde qu’elle a créé de ses rêves, de ses ressentis, de ses mots oiseaux .

            J’apprécie énormément la liberté de ton de ses poèmes tour à tour tendres, ou drôles, ou bien encore un peu acides, voire tragiques … un condensé de vie !

            J’aime beaucoup aussi l’apparente légèreté des textes qui ne se prennent pas au sérieux… ce qui ne signifie pas, bien sûr qu’ils manquent de sérieux. Bien au contraire ! Les poèmes de Renée-Lise Jonin savent aller au fond des choses avec leurs mots qui s’égrènent souvent de façon pittoresque, inattendue mais toujours poétique. 

 J’ai cueilli, embrassé les mots

 Á travers les fleurs du sourire 

 dit l’auteure dans Échappés de ma main

            Ces mots qu’on ne retrouve pas forcément dans un dictionnaire d’ailleurs… et qui existent soudain parce qu’elle les a créés, peut-être en soufflant hier parmi mes rêves 

            Ses rêves n’appartiennent qu’à elle ; cependant le lecteur a vite fait de les habiter, de les habiller de ses propres sentiments, de son propre regard peut-être pour répondre à son vœu :

 Poème cousu par mésange

Poème tissé par mégarde

Envole toi, appelle un ange

Et demande lui qu’il regarde

            Et puis, le bonheur d’écriture qui transparaît dans chaque texte, me ravit. En particulier, je voudrais pouvoir faire partager la joie ressentie au magnifique Crire, mon poème préféré. 

 

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Quatre micronouvelles extraites du recueil  inédit intitulé  Où sont les enfants et autres nouvelles avec illustrations de l’auteure

                  Micronouvelle 1 : Où sont les enfants ?

  Renée-Lise Jonin

 Vous êtes en prison. On vous a condamné à écouter les infos. Toute la journée. Vous vous étiez retiré dans votre monde perso pour y vivre tranquille et agréablement : il y avait des enfants et des fées. Vous n’écoutiez jamais les infos. Vous êtes passé en justice sur délation. C’est la femme de ménage qui vous a dénoncé d’abord :  il n’y avait pas de télévision dans votre maison, pas d’ordi, pas de radio. Le soir tard, vous receviez des enfants et des fées. Vous faisiez des bruits étranges, le soir tard. Le concierge l’a remarqué. A son tour il vous a dénoncé.  

            Vous avez été enfermé dans une cellule avec la radio et la télévision au maximum de décibels.  On vous a dit : vous ne vous souciez pas du Monde, alors on vous enferme dans le Monde, c’est là votre peine. Les images vous rentrent dans les yeux et dans la matière rouge. Votre cerveau mange les infos et les infos mangent votre cerveau. Toute visite est interdite. 

            Vous évader...  Mais si vous parvenez à retourner dans le monde enfants / fées, on vous retrouvera. On vous arrêtera. On vous réincarcèrera. C’est un monde de plus en plus mal protégé. 

            Vous évader… dans le monde des autres adultes et prendre des mesures pour devenir un autre. Devenir quelqu’un qui aime les infos. Président d’une république, journaliste…  Demandez une faveur : qu’on vous apporte une mappemonde. Vous la faites tourner à vive allure pour voir tous les pays dont vous pourriez devenir président. Je n’est pas encore un autre. Je le deviendrait. 

 

            Avaler des pilules pour voir trente-six chandelles, comme les personnages de Tintin. Ou partir comme Mickey, à travers les siècles. Ou comme Mermoz, à travers les ciels. Vous auriez malgré tout la nostalgie des fées. Vous étiez si bien avec elles, à cheval sur les fleurs. A verser de la poudre d’étoile au-dessus des berceaux.

             Si vous étiez artiste, vous vous évaderiez dans l’art, mais voilà, vous n’êtes pas doué. Si vous étiez mystique, vous vous réfugieriez dans le sein de Dieu, mais vous êtes athée, voilà. Allez, mettez-vous dans votre lit, rabattez sur vous votre couverture et dormez jusqu’à plus soif. 

            Soif…  Vous pourriez boire. Ou vous procurer de la drogue Mais vous ne savez pas où vous adresser. En plus, ce n’est pas bien considéré. Choisir de retomber en enfance ? Pour cela, il faut d’abord devenir vieux –c’est long. 

            Vous tentez d’échafauder des solutions pour quand vous serez dans le monde ordinaire. Mais vous êtes là, oui là, dans votre prison à infos tonitruantes.  Vous vous mettez à crier de plus en plus fort.  Plus fort que les infos. Un gardien arrive, puis un autre, puis les ambulanciers. On dit Il est devenu fou. 

            Le médecin dit S’il crie encore, l’hôpital va éclater. Car on vous a transporté, mais oui, à l’hôpital, dans une voiture de pompiers. Les pin-pon-pin-pon essayaient de couvrir votre voix mais il n’y avait rien à faire. Aux soins palliatifs où vous êtes maintenant, on vous dit que vous dérangez tout le monde, que les gens vont mourir de votre présence hurlée. 

             Vous criez Où sont les enfants ?  Il n’y  pas d’enfants dans ce monde nouveau. Il n’y a pas de fées. Il y a longtemps qu’elles sont parties, désespérant de faire entendre leurs clochettes. Vous tendez les bras. On vous dit Vous êtes fou. Et on vous lie les pieds. 

            Vous criez Où sont les fées ? On vous dit : Vous êtes condamné pour faits et gestes. Vous allez être transféré dans une autre prison, dans un autre hôpital. On va vous expédier en Chine ou au Japon, ou peut-être… à Quimper ! Le pire, vous pensez, serait d’aller à Quimper. Mais vous comprenez bientôt que vous partez vers le seul monde que vous n’aviez pas imaginé et qui s’appelle le Pire. Le Pirée ? dites-vous. Quimper ? Qu’importe Quimper ! Le Pire, vous dis-je !

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Micronouvelle 2 : L’échelle de monsieur Abedy

 Renée Lise  Jonin

 Monsieur Abedy est tombé de l’échelle. Il venait souvent faire des travaux chez mes parents. De menuiserie, de plomberie, d’électricité… Il est polyvalent, Monsieur Abedy. Papa ne sait rien faire. Maman non plus, d’ailleurs.  Je me dis parfois que j’aimerais avoir un papa comme monsieur Abedy.

                        Quand je rentre de classe ce soir-là, maman est dans tous ses états. Monsieur Abedy est tombé de l’échelle. Il s’est cassé une jambe et un bras. J’ai envie de crier Oh comme j’aurais voulu être là ! Ça me brûle la bouche et les lèvres et la langue. Ça me brûle les dents. Je ne dis rien. 

                        Je regarde maman qui fait des grimaces de tourment. (Monsieur Abedy n’était pas déclaré). Ça me fait plaisir de voir maman souffrir parce qu’elle me donne des fessées à temps et contretemps.

                        Je souffre moi aussi. Je souffre de ne pas avoir vu monsieur Abedy faire sa chute à la sauce au vertige. Tomber de l’échelle comme du Mont-Blanc. Tournoyer dans les airs en essayant de s’agripper à l’échelle avec sa jambe et son bras. S’écraser par terre avec un vacarme de chat qu’une voiture aplatit. Le bruit des os qui se brisent couvrant le bruit de ses cris.

                      Les voisins sont venus se rincer l’œil. Trop tard, tant pis pour eux ! Ils n’ont pas vu la chute. Mais ils ont vu monsieur Abedy se débattre par terre. Essayer de mettre ensemble deux bouts de bras qui s’étaient carapatés. Et, d’une seule jambe, courir après sa jambe.

                       

            Monsieur Abedy, c’est comme celui qui se suicide en se jetant de la tour Eiffel. Il tombe sur la tête des gens, qui meurent presque tout de suite, dans des souffrances atroces et délicieuses

            Monsieur Abedy, c’est comme Hillary et Tenzing dont m’a parlé papa. Qui dégringolent de l’Everest. Dans leur chute ils décrivent de grands cercles avec leur piolet. Ils s’étripent l’un l’autre de leurs gestes affolés avant de s’empaler, chacun sur son piolet. Piolet, c’est joli.  Ça fait piou-piou et des bruits d’oiseaux.  

            C’est comme la femme de ménage qui valdingue du dixième étage, les deux pieds collés au fond de son seau d’eau. À l’atterrissage, ses pieds percent le seau. Elle les casse et pleure. L’eau du seau lui fait des larmes. Puis elle meurt coincée dans l’ascenseur.

            Le lendemain de la chute de Monsieur Abedy, je dis à mon petit frère Viens, on va jouer à monsieur Abedy. Mon petit frère me suit. Je tire l’échelle du placard. Il n’y a pas de sang dessus, c’est dommage. Ou Viens, on va jouer à Hillary et Tenzing le jour où l’Everest a éclaté à cause d’un volcan. Il dit Je préfère jouer à monsieur Abedy. Je le fais monter sur l’échelle – et toc – je la replie. Il tombe avec un hurlement. Papa accourt et hurle. Maman accourt et hurle. Je reste sur place et hurle C’est pas moi !

            On m’emmène en prison – direct. Les gardiens ont des gourdins et courent après moi dans les couloirs de la prison pour m’éclater la cervelle. Les gens crient Venez voir le grand garçon qui a assassiné son petit frère ! À tue-tête je jure C’est pas moi, c’est pas moi ! On me lance des tomates, c’est comme du sang solide et tout le monde rit. 

            Voilà mon petit frère qui débarque tout joyeux dans la prison. Il tient un barreau d’échelle d’une main et, brandissant de l’autre son fémur tout nu, il crie On a joué à Monsieur Abedy ! On a joué à monsieur Abedy !

 

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Micronouvelle 3 : Un élégant papier bleu 

 Renée-Lise Jonin

Je suis médecin.

Quand quelqu'un vient me voir avec une ou plusieurs jambes en moins, je lui ajuste des jambes de bois. Mais, je ne sais pas pourquoi, il y a toujours un bûcheron qui passe par là un soir d'hiver et qui coupe les jambes de mes patients pour en faire un feu de joie. Tous ses enfants dansent autour en chantant des allegros. 

Ou alors mes patients prennent racine. Ils deviennent superbes, se couvrent de fruits et de fleurs mais ils restent paralysés à jamais dans un seul coin de terre.

Je ne sais pas pourquoi... il me semble que mes confrères ont moins d'ennuis.

Quand un malade vient me voir avec des myosotis plein le cerveau, qu'y puis-je ? C'est que leurs amants, leurs amantes, leur ont répété des myriades de fois Forget me not (anglais pour myosotis). Ils n'ont jamais pu les oublier et moi je ne peux rien contre les souvenirs.

Je ne sais pas pourquoi... il me semble que mes confrères ont moins d'ennuis.

Quand un malade vient me voir avec des coccinelles plein les poumons, le seul espoir que je puis lui donner, c'est que les bêtes à Bon Dieu sont les messagères du Consolateur Universel, un signe qu'il vous envoie pour vous dire Je vous recevrai bientôt en mon Royaume. 

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Hier j'ai reçu une convocation : un élégant papier bleu orné de petits chevaux roses. J'ai été accueilli par un charmant monsieur, sympathique et distingué. Des yeux bleus très doux, une belle moustache relevée, une cravate à la mode.

– Souscrivez-vous au constat que vous n'êtes bon à rien ? m'a-t-il demandé avec un gentil sourire.

– Parfaitement.

– Savez-vous que l'Administration fait abattre les personnes dans ce cas ? Êtes-vous d'accord sur cette conception ?

– En tout point.

– Cigarette? Kent... Dunhill... Pall Mall...

– Non merci. Je ne fume pas. 

– Vous comprenez, poursuivit-il avec aisance (il présentait la situation sous le meilleur jour possible), aux U.S.A. on tue les gens derrière leur dos mais en France on juge préférable de dire les choses en face. Qu'en pensez-vous ? 

– J'apprécie la méthode française : elle permet d'être, jusqu'au bout, lucide sur soi-même.

– Je vais donc vous envoyer mes hommes. Pouvez-vous vous tenir prêt demain en début d'après-midi ?

– Cela me convient fort bien. J'attendrai.

Il me tendit une main aimable et serra la mienne avec un dernier sourire. 

Puis il réajusta sa cravate. 

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Micronouvelle 4 : La riante Suisse

Des douleurs aigües au bas-ventre, que je découvre congestionné et violet, me réveillent au petit matin. J’appelle un médecin. Pendant une heure, je me fais du souci. Que dis-je du souci ? Je suis tenaillé par la peur. Je passe devant une glace et j’y vois mon visage, violet un peu comme mon bas-ventre mais tirant davantage sur le mauve. 

Quand le médecin arrive, je remarque tout de suite qu’il a très froid.  Sa main serre la mienne, elle est de glace. Ses oreilles ont une couleur intermédiaire entre la violette et le lilas.   Il me demande de me déshabiller et appuie sa tête contre mon bas-ventre. Oreilles violettes contre ventre violet… on n’y voit plus rien. 

– On n’y voit rien, dit le médecin. Mon diagnostic est brouillé.

– Voyons, docteur, faites un effort !

Sous l’effort, son front prend la couleur de l’aubergineOn n’y voit moins que rien. 

– Le diagnostic est hyper-brouillé, dit le médecin.

Il m’ausculte. 

– C’est grave. Vous avez la maladie de la vessie verte.  

 Il a l’air très embarrassé et semble incapable de rien ajouter. Enfin il parvient à articuler :

– Vous allez avoir des douleurs effroyables pendant trente jours. Vous serez miné, diminué, amoindri, réduit, rabougri, ratatiné jusqu’à ce que mort s’ensuive le trentième jour. 

– Docteur ! Docteur ! Au secours !

Le médecin reste quelques instants silencieux puis son visage s’éclaire. 

– Je vois une solution.  Je vais vous prescrire un suicide assisté. Vous partirez demain pour Genève par le train de 6 h 51.

            Le lendemain, dans le train, je suis en proie à des contorsions de douleur. Je ne peux cependant m’empêcher d’admirer le paysage. Je regarde les vaches paître dans les prés vert vessie. Je me dis que le monde est bien beau et je suis triste de le quitter. Si j’avais vécu, je crois que je me serais acheté une vache laitière. 

Il pleure dans mon cœur comme dans un entonnoir. Il me semble que mes larmes coulent sur le paysage qui n’en verdoie que plus. Ah, que je le regretterai ! Comme vous me manquerez, vallées suisses aux vaches blanches et noires dont le lait est si bon pour la tarte aux poires, succulente comme la vie ! 

 Carte en main, je me dirige vers la clinique spécialisée d’un pas que je veux ferme. Soudain je ressens dans tout le corps un choc violent… puis plus rien. Une vague monte en moi, irrésistible. Me voici en proie à la joie de vivre. Avez-vous déjà été la proie de la joie de vivre ? On ne la choisit pas, elle vous fond dessus. On est son heureux prisonnier. 

Elle est blanche comme du lait de vache. Elle vous attrape le cœur et vous le rend blanc pur, il ne peut plus pleurer. Elle vous gonfle des pieds à la tête en passant par la vessie. 

À la clinique, on me reçoit fort bien. Je parle de joie de vivre puis de vessie verte et remets ma prescription au médecin. Il me regarde avec compassion, me pose un instant la main sur l’épaule puis m’examine. Il a l’air perplexe et me fait des radios de différentes parties de l’abdomen.  Il me demande de l’attendre. Il revient au bout de dix minutes. 

– Vous avez la vessie blanche et tout s’annonce bien. Un examen complémentaire est cependant nécessaire.

Il me fait uriner dans un entonnoir qui a un peu la forme de mon cœur. Je fais pipi blanc, blanc, blanc.  

-  La joie de vivre vous a guéri. Vous êtes libre ! Profitez !  me dit le médecin. 

Je sais que je ne suis pas libre, la joie me tient. 

 

 Pour acheter les livres  

1) Poésie

-    Dans le ventre du rêve, poèmes   Renée-Lise Jonin, Editions L’Ire de L’Ours

https://www.coollibri.com/bibliotheque-en-ligne/renee-lise-jonin/dans-le-ventre-du-reve_356841

-    Des forêts d’oiseaux dans le crâne , poèmes. Prix Jean Aubert 2011 Editions Flammes Vives

Épuisé, cela après un succès marqué (il a en effet bénéficié de deux tirages successifs)  

En projet : pourra être mis en vente chez l’auteure sous forme de livrets illustrés, de fabrication artisanale, (Les livres édités ne comportaient pas d’illustrations – à l’exception de la couverture) 

S’adresser à  Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

2) spiritualité

-   Julienne de Norwich ou Tout sera bien. Editions Mediaspaul  (Introduction à la spiritualité d’une ermite anglaise du Moyen Age) 

En vente dans toutes les librairies religieuses et au rayon religieux des librairies générales

Prix : 17 €

-    Paraboles celtiques : récits et poèmes recueillis par Robert Van de Weyer et traduits de l’anglais par Renée-Lise Jonin, Editions du Seuil, collection Points Sagesse 

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